Bousculé par la pression de la concurrence espagnole de plus en plus précoce, des aléas climatiques variables d’une année à l’autre et des exigences du marché (préférence communautaire entre autres), le producteur marocain se pose des questions sur l’avenir d’une filière nécessitant de plus en plus d’investissements et de technicité et spécialement dédiée à l’export.